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[15/01/2023] - ~2mins -
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Il apprend qu'il est atteint d'un cancer incurable et qu'il ne lui reste que quelques mois à vivre.
Il décide de quitter son taf sans rien dire et de tenter de profiter des joies de la vie, ce qu'il n'avait jamais vraiment fait auparavant.
J'ai eu du mal à me plonger dans le film.
Je trouve le démarrage assez rèche : c'est tristouille, la forme du film est très datée, le choc culturel est assez difficile à encaisser.
Mais au bout d'un moment ça prend une autre tournure et là ça a regagné pas mal d'intéret.
Le pauvre *Takashi Shimura* fait vraiment de la peine à voir.
Le gars est abattu avec un air de chien battu d'exception.
C'est le genre de personnage qui a plus tendance à m'énerver (ouai manque d'empathie), j'ai envie de le secouer toussa.
Et du coup c'est pour ça que le premier tier m'a été un peu difficile.
J'ai envisagé d'abandonner le film tellement j'ai cru que ça allait tourner en rond.
C'est drôle de voir que déjà dans les années 50 même à l'autre bout du monde l'administration atteignait une dimension absurde.
Certaines choses sont universelles…
Et d'ailleurs la morale du film à ce propos est assez triste :-/
L'illustration des tourments de l'administration a une mise en scène assez cool avec chaque service se renvoyant la balle.
On est entre le laissé-passer A38 et un monstre kakfaïen.
Il y a apparemment un remake britain qui vient de sortir et qui d'ailleurs est bien plus court.
Le film est sympatique mais pas des plus attrayants et tarde vraiment à démarrer.
Je suis étonné de le voir aussi haut dans le classement IMDB…
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[15/01/2023] -
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