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The Dark Knight

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[06/06/2020] - ~17mins -

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Synopsis détaillé incoming, je vais vous spoile à mort mais franchement vous devriez voir vu ce film.

Et puis le spoile n'empêche pas de profiter pleinement du film (au contraire même).

C'est parti !

Le film débute directement par une scène de braquage ahurissante.

C'est rythmé, ultra joli (caméra Imax, format d'image qui en jette toussa toussa).

C'est bien malin avec le plan qui se déroule superbement où les malfrats se tuent tous les uns les autres progressivement dès que leur utilité devient dispensable.

On découvre que tout a été organisé par le *Joker* et qu'il est dans l'équipe lui aussi.

Et c'est d'ailleurs le seul survivant, il se tire avec tout le pognon tout seul.

Une scène d'intro en bonne et due forme, on croirait un peu du **Heat**.

On a ensuite droit à une scène de deal entre malfrats où de multiples Batman interviennent

Le vrai Batman arrive en ridiculisant bien les ersatz comme il faut.

Ça bourrepif dans tous les sens.

Mais c'est clairement du menu fretin, *Cillian Murphy* fini menotter moins de deux minutes après son apparition (il fera pas carrière chez DC malgré son masque de l'épouvantail).

On fait connaissance du procureur *Harvey Dent* bellâtre blondinet s'évertuant à ramener un peu de justice en ce bas monde.

Il fait ça en flirtant avec *Rachel Dawes* (ouai c'est la sœur de *Jake Gyllehaal*) à ses côtés dans un procès face au boss des gangsters locaux : *Salvator Maroni* (incarné par le frêre de *Julia Roberts*).

Le témoin à la barre sort un flingue planqué, braque *Harvey* et malheureusement l'arme ne fonctionne pas ce qui permet de lancer un ptit "Haha Made in China" de la part des ricains.

Tout ça permet de renforcer l'aura héroïque du procureur.

Lors d'un conseil d'administration, on voit *Bruce Wayne* pioncer face à un éventuel futur partenaire chinois ce qui va foutre un peu les boules à l'un des experts (en quoi ? on s'en fout) de Wayne Enterprise vis-à-vis de son patron.

On assiste à un dîner où *Bruce* et *Harvey* se rencontre pour la première fois où ils échangent leurs points de vue vis-à-vis de Batman et de la ville.

Et *Bruce* le cache bien mais il tombe direct amoureux du procureur (tout du moins de sa vision).

Il décide donc de lui apporter tout son soutien grâce à sa réputation, son pognon et l'appui de ses amis via une future réception.

On assiste ensuite à une réunion bien moins sélect avec tous les malfrats de Gotham réunissant (entre autre) *Maroni*.

Là, on a le droit à une bonne vieille télé cathodique diffusant en live la visioconférence avec le potentiel partenaire chinois de Wayne Enteprise.

Le chinois annonce qu'il a pris les devants et piqué tout leur pognon pour le mettre en sécurité et là le *Joker* débarque dans son joli costume violet.

C'est la première scène où l'on découvre pourquoi cette incarnation du Joker est la meilleure de toutes les adaptations ciné.

Il cabotine à un niveau astronomique.

Il a des mimics, des tics, des mouvements compulsifs, un maquillage dégueu, gesticule, dévoile un plan ultra intelligent.

Pour la moitié de tout le pognon de la pègre il se propose de tuer le justicier masqué.

L'offre ne semble pas plaire à la pingre pègre mais par chance il s'était équipé de quelques grenades afin de pouvoir partir en tout quiètude.

Sa tête est mise à pris à 500K$ mort, le double vivant.

Petite réunion au sommet (d'un immeuble où se trouve le projecteur utilisé par le *Lieutenant Jim Gordon* pour appeler *Batman*) entre le flic, le procureur et le justicier.

On apprend que *Lau* (le potentiel partenaire chinois qui s'avère être en possession du pognon des malfaiteurs) s'est échappé à Hong Kong.

Le procureur et le flic aimerait récupérer *Lau* pour le faire tomber et par la même récupérer tout le pognon des malandrins.

Afin de préparer sa mission d'extraction à Hong Kong, *Bruce Wayne* rencarde son brocanteur *Lucius Fox* pour qu'il lui trouve une nouvelle combinaison moins rigide.

Le milliardaire (c'est *Bruce* mais aussi *Batman* pour ceux qui suivent pas) feint une balade bateau au large de la Chine pour s'approcher de sa cible.

Il annonce à *Lau* que Wayne Enteprise ne peut s'associer avec une personne dont la réputation est entâchée.

Mais il s'agit en fait d'une filouterie de *Morgan Freeman* qui a en fait déposé un téléphone piégé au PC sécurité de la tour.

C'est ce qui permettra au chevalier noir le soir venu d'intervenir.

Roulé boulé, survol, boum, lumières qui clignottent, plan de caméra qui virevolte entre les gratte-ciels de Honk Kong, chinois qui parlent chinois, Batman qui volette et qui défonce des vitres, disparition surprise et enfin ceinturage/abduction de *Lau* pour finir par un récupérage par avion.

Vite fait bien fait.

Le chinois est livré à *Jim Gordon* puis interrogé par *Rachel Dawes*.

Il décide de donner les noms de toutes la pègre ce qui donne lieu à de jolies arrestations générales et un début de procèse rocambolesque (je le place rarement ce mot, c'est dommage).

Alors que tout semble aller en s'arrangeant pour Gotham, le *Joker* fait diffuser une vidéo de lui torturant un faux batman.

Il veut que le vrai dévoile son identité sinon il tuera des innocents chaque jour.

Alors que se déroule la ptite fête organisé par *Bruce Wayne* dans l'une de ses tours avec tout le gratin de la haute.

On découvre que *Rachel* qui fricotte avec *Harvey* semble pas mal fricoter avec *Bruce* également et qu'elle est parfaitement au courant de la double identité de ce dernier.

Ça parade toussa toussa jusqu'au moment où le *Joker* fait irruption.

Au même moment d'autres haut-fonctionnaires sont éliminés.

On retrouve le couillon qui est l'expert présent lors du conseil d'adminstration de Wayne Enterprise.

Après avoir fait son boulot il s'est rendu compte qu'une partie du pognon de la boîte partait dans une branche de R&D qui s'avère spécialisé dans la création des gadgets de Batman et compagnie.

Il fait comprendre qu'il a compris que *Bruce* n'est pas que Bruce et annonce sa ferme intention d'avoir un peu de pognon pour la fermer mais il sera ridiculisé par *Lucius* qui l'enverra bouler.

Alors que se déroule une cérémonie officielle pour rendre hommage à la mort de certains hauts-fonctionnaires.

Le *Joker* tente en vain d'abatre Maire mais le *lieutenant Gordon* se sacrifie et prend une balle à sa place.

Il commence à perdre pied en apprenant que sa peut-être future femme est la nouvelle cible du Joker.

Résigné, il ne peut plus supporter autant de pertes.

Face à la presse et au public (ainsi que Bruce Wayne), *Harvey Dent* annonce être le Batman et se rend afin de s'attirer les foudres du Joker tout en laissant le vrai Batman libre d'agir.

Grosse scène d'action en vlature.

Grosse claque visuelle et sonore encore une fois avec de nombreux plans iconiques.

Ça joue à qui qu'à le camion le plus lourd (ce qui est une excellente stratégie aux auto-tamponneuses).

La batmobile se met à sauter au-dessus d'une voiture pour sauver le camion de Swat contenant Harvey.

La moto fait ses ptits mouvements défiant les lois de la physique et parvient à éclater le camion du Joker qui sort en titubant un peu mais pas trop.

Là c'est l'affrontement entre le Joker piéton implorant pour se faire percuter et le chevalier noir chevauchant sa moto aux pneus de 60cm de large qui préfère se jeter comme un merde plutôt que de le percuter ou de l'esquiver simplement.

Le *Joker* s'approche et là par-derrière un flic le braque et on découvre son visage c'est *Jim Gordon* qui en fait n'était pas si mort que ça.

Joute verbale (avec quelques violences physiques pour pimenter) entre le Joker et le Batman dans la cellule d'interrogation du commissariat.

Là, Batman apprend que Harvey et Rachel sont portés disparus et qu'ils sont très probablement tous deux à deux doigts de mourir.

Il apprend qu'ils sont tous deux à l'opposé l'un de l'autre et qu'il ne peut donc en sauver qu'un des deux et qu'il doit donc choisir entre la femme qu'il aime et la personne la plus à même d'aider la populace de Gotham.

Les flics partent sauver Harvey, *Batman* motote pour sauver Rachel.

Le psychopathe provoque le flic surveillant qui finira par craquer.

C'est donc le début de la castagne mais pas de chance on la ne la vera mais *le Joker* parvient à prendre en otage le flic.

Il sort avec son otage et réclame à passer son coup de fil qui déclenchera une bombe placé dans le bide d'un autre détenu ce qui provoque un sacré dawa dans le commissariat.

Le couillon connaissant l'identité de Batman annonce qu'il va le révéler à la téloche.

Au même moment, *le Joker* fait comprendre à la pègre locale que désormais la ville lui appartient et que donc elle travaille pour lui si elle veut continuer à exister.

Il profite de cinq minutes dispo pour appeler la chaîne de télévision pour dire que ce que si le blaireau fait sa révélation ça lui ruinerait le fun et qu'il doit donc être mort dans l'heure sous peine de faire péter un hôpital.

Petite ellipse, les hopitaux se font évacuer en catastrophe, *le Joker* déguisé en infirmière rend une petite visite à Harvey Dent.

Il lui fait un ptit laïus comme quoi il ne fait ça que pour s'amuser, qu'il n'a pas de plan en tête contrairement aux autres (pas de plans à long terme certe, mais continuellement des plans à court termes en ayant toujours une longueur d'avance le coco).

Magnifique petit discours sur les non-intentions du Joker, il donne même un flingue à Harvey qui décide de jouer à pile-ou-face la vie du Joker.

Pendant ce temps, *Bruce Wayne* (pas Batman) sacrifie sa Lambo pour protéger le couillon menaçant de révéler son identité.

C'est surtout l'occasion d'une ellipse.

On ne sait pas ce qu'il est advenu du lancé de pièce.

Cinq secondes plus tard le suspens est ruiné, *le Joker* utilise son gel hydroalcoolique (bien) et fait péter l'hôpital (pas bien).

Par chance à peu près 0 victime, les évacuations en bus ont bien sauvé le coup.

Cependant il manque un bus à l'appel et donc ses 50 occupants.

Bon, c'est pas vraiment pour épancher sa soif qu'il est là, mais pour questionner un flic lors de sa permission afin de trouver la seconde taupe dans l'équipe de Gordon qui s'est occupé de l'enlèvement de *Rachel*.

Et je sais pas si c'est son nouveau reflet dans le miroir ou bien la rage d'avoir perdu sa copine mais est bien moins droit dans ses bottes.

Il joue à pile-ou-face la vie du flic et pas de chance le flic a perdu.

On a ensuite la scène la plus contemporaine du film : plus tôt dans le film *Lucius Fox* le roi du gadget a utilisé un téléphone ayant un simili-sonar.

Là, il vient de découvrir que son patron (c'est Bruce Wayne mais aussi Batman !!) a fait installé ce système de sonar dans tous les téléphones qu'il vend.

La chauve-souris se veut rassurant, le RGPD, les cookies toussa et puis la base de donnée a une clé de cryptage qui n'est connue que d'une personne.

Et cette personne ça sera … *Lucius*.

Et ça ne l'enchante guère, il accepte de filer un ultime coup de main pour l'occasion mais qu'après c'est lettre de démission.

Du coup il se retrouve tout seul avec une bonne cinquantaine d'écran bleuâtre et des micros sur environ 30myions de personnes à devoir écouter en live pour trouver le Joker.

Il crache le morceau mais a droit quand même à son lancé de pièce qui l'épargnera.

Du coup, il lance ensuite sa pièce fétiche pour décider du sort de conducteur qui aura moins de chance.

Ça démontre une fois de plus que *Harvey* est de moins en moins clean dans sa tête vu qu'il risque sa vie pour pas grand-chose.

Bon, maintenant on sait que c'est un certain *Ramirez*.

Deux ferrys sont remplis pour évacuer la ville.

Un est plein de taulards, l'autre de civils.

Le Joker les a piégé (mais il a pas de plan, hein) tous les deux en les bourrant d'explosifs et en donnant les détonateurs d'un ferry dans l'autre et vice versa.

Social Experiments Time : le ferry déclenchant le détonateur faisant péter l'autre bateau sera épargné.

Il a retrouvé *Ramirez* qui est en fait une assez haut-gradée que l'on a aperçu plusieurs fois déjà.

Il la braque et la force à appeler la femme de *Jim Gordon* pour qu'ils prennent la fuite.

Les flics sont déjà prêts à intervenir avec équipe d'intervention, snipers et tout, mais le justicier aimerait pouvoir avoir un peu d'avance pour gérer au mieux la situation.

Il y a encore pas mal d'otages mais qui ont été déguisés en clown avec des armes factices scotchées aux poignets afin de se faire descendre par l'unité d'intervention qui mène l'assaut.

Alors que les vrais malfrats sont eux déguisé en personnel soignant.

Le super justicier s'en rend compte quelques secondes à l'avance et donc abîme un peu mais pas trop les flics pour sauver les otages.

Ça castagne sévère.

Forcément il est un peu seul et se retrouve acculé mais par un heureux coup de gravité et une planification hors pair, parvient à balancer les flics restants par-dessus bord.

Bon il est pas méchant, ils sont juste suspendu dans le vide.

Batman maintenant libéré des flics continue son ascension dans l'immeuble pour parvenir à l'étage où se trouve le psychopathe armé d'une barre de fer et entouré de trois molosses.

La SPA peut faire la gueule vu le triste sort réservé aux clebs qui s'ils ne sont pas affublés d'ailes rétractiles risquent de pas s'en sortir.

Pendant que sur l'immeuble ça castagne, sur les ferries c'est pas vraiment une atmosphère de détente.

Chacun veut faire péter le bateau de l'autre mais le poids de la mort d'un ferry complet parvient à calmer les ardeurs respectives.

Le Joker parvient à immobiliser la chauve-souris et attend impatiemment qu'un ferry fasse péter l'autre.

Sa frustration grandit lorsqu'il comprend qu'au final les gens ne sont pas tant des monstres que ça.

Grâce à l'un de ses gadgets, notre brusque masquée parvient à se défaire de sa brusque maquillée et l'envoie dans le vide l'empêchant de faire péter les bateaux.

Il sort un autre gadget pour choper le Joker avant qu'il ne fasse la crèpe au sol et remonte son némésis.

On a donc droit à une ptite discussion cordiale entre les deux protagonistes.

Après avoir balancé sa ptite analyse comme quoi ils se ressemblent pas mal tous les deux, le Joker révèle qu'*Harvey Dent* est en vie et qu'il a quelque peu changé de mentalité ces dernières heures.

C'est encore un plan du Joker qui n'a pas de plan, qui tente désespérément de répandre le chaos dans Gotham.

Cette scène est particulièrement classe avec la caméra qui tourne à 180° pour remettre le Joker dans le bon sens alors qu'il pend la tête en bas, comme pour souligner le rapport de force qui s'inverse une fois de plus en faveur du psychopathe.

Le *lieutenent Gordon* part à la rescousse de sa femme et ses gosses là où *Rachel* a eu sa fin explosive.

Il menace la ptite famille.

Le lieutenant fait ses excuses comme quoi il pouvait pas la sauver mais qu'il a quand même tenté et c'est l'intention qui compte.

Bla bla bla.

Le Joker a tout fait perdre là personne la plus droite pour montrer au monde que même le meilleur d'entre tous peut tomber plus bas que terre.

Sous les yeux de Gordon et sa famille, les deux choient de l'immeuble (ouai ça tombe beaucoup dans ce film).

Bon le Batman avec sa combinaison bien rembourrée a un peu mal et est essouflé mais *Double-Face* a funestement crèpé.

Et pendant que ça balance de belles paroles toussa toussa, *Lucius Fox* coupe l'espionnage de masse, *Gordon* pète le projecteur pour appeler Batman.

Le héros masqué s'enfuit avec sa moto ce qui déclenche l'apparition du générique.

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Wow, mais quel film ma parole !

C'est dense, rythmé, complexe avec une tonne de personnages.

Qu'est-ce que c'est bien !

Le film se veut super réaliste.

Il s'entre bien dans la réalité avec des décors ultra plausible, on n'est pas dans une Gotham City fluorescente avec des statues démentielles comme dans **Batman Forever**, là c'est vraiment un New-York réaliste avec ses grattes-ciels existant et tout.

Et d'ailleurs on en prend plein les mirettes : l'architecture si particulière de la ville est bien mise en exergue.

On a très régulièrement des plans en intérieur vitrés où l'on peut admirer la vue des autres immeubles partout.

Et contraiment à d'autres films de batman très sombres, ici il fait plutôt beau, c'est ensoleillé et tout.

L'environnement est étouffant par tous ses immeubles et l'absence de verdure mais pour une fois on nous épargne une atmosphère sombre une météo de merde.

Les scènes de nuit sont globalement pas très sombres.

On est gâté avec pas mal de plans aériens de toute beauté, ce qui permet une fois encore d'admirer les architectures des différents lieux.

Visuellement c'est superbe.

Le film alterne constamment dans son format d'image passant d'un 16/9 avec un piqué et un grain de folie à un 2.39/1 plus classique légèrement plus flou.

Et franchement à chaque fois que ça prend tout le 16/9 la qualité d'image est bluffante.

Ces plans ont été filmés à la caméra Imax pellicule (pas numérique) donc avec de la pelloche de 70mm au lieu du 35mm habituel.

C'est le genre de caméra qui était habituellement réservée à des documentaires ou bien des vidéos très spécifiques de part leur qualité et surtout du matos particulier requis.

Ce sont des caméras bien plus massives et surtout les bobines ne permettent de filmer que quelques minutes tout au plus et coûtent bien plus chères.

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L'histoire est pas mal complexe avec des rebondissements et pas mal de questionnements sur la relativité du bien et du mal.

Beaucoup de questionnement sur ce que les persos doivent faire ou non pour l'opinion du public.

C'est assez inédit dans la franchise.

Le casting est en or avec beaucoup de gros acteurs.

Mais au-delà de ça, c'est assez sympa de voir qu'ils n'ont pas lésiné sur les second-rôles voir les figurants.

Il y a des montagnes de figurants dans ce film.

Entre tous les hommes de mains, les armées de flics et de militaires mais aussi la foule de civiles.

C'est impressionnant le nombre de personnes qui passent à l'écran.

Ils ont dépensé sans compter.

Les effets numériques sont vraiment super subtils et même près de quinze ans plus tard ne jurent pas.

Il n'y a vraiment que le rendu de *Double Face* qui commence à montrer les limites de ce qu'il était possible mais ça reste pardonnable.

Franchement le film n'a pour l'instant pris aucune ride et faut dire qu'il n'a pas énormément de concurrent.

C'est un film avec une sacrée envergure, une prestance qui force le respect, un scénar intelligent et des personnages intéressants.

Un pur chef-d'œuvre à revoir régulièrement.

On y retrouve aussi *Hans Zimmer* a la musique qui est resté dans ses cannons en étant tout de même plutôt discret.

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[06/06/2020] -

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