💾 Archived View for gem.ortie.org › gemlog › 2023-12-19.gmi captured on 2023-12-28 at 15:03:49. Gemini links have been rewritten to link to archived content
-=-=-=-=-=-=-
J'ai beaucoup procrastiné au niveau de l'écriture de mon roman, commencé il y a plus de 12 ans, et pour lequel je n'avais en tout et pour tout composé que 8000 mots environ.
En modifiant mes méthodes, en travaillant sur la motivation mais également sur la ténacité, j'ai réussi à faire beaucoup mieux, j'en suis depuis la mi-novembre à plus de 27 000 mots au total, ce qui fait un peu plus de 500 mots par jour en moyenne. Je n'arrive pas à écrire tous les jours, parfois les sessions d'écriture font 200 mots, parfois 1500, mais je me sens plus à l'aise à rédiger environ 700 ou 800 mots à chaque fois, ce qui me rassure un peu lorsque je regarde ce que font les autres auteurs puisque que l'on se trouve entre 500 et 2000 mots par jours environ.
J'avais noté quelques outils d'écriture dans un précédent billet, mais après un mois d'écriture plus intense, je peux revenir sur une version un peu plus définitive.
Mes outils d'écriture première version
En premier, ce qui m'aide le plus pour ne pas être distrait, c'est d'utiliser un ordinateur dédié à cet usage, et ne présentant pas toutes les facilités pour être connecté en permanence à internet et aux outils de communications moderne. J'ai un raspberry pi 4 qui est dédié à cet usage, et il est parfait dans ce rôle. Je peux utiliser un navigateur si nécessaire, mais il n'est pas extrêmement véloce, ce qui m'oblige à me cantonner au strict nécessaire pour les éventuelles recherches, et limite la procrastination.
C'est plus anecdotique, mais comme interface j'utilise WindowMaker qui est simple et épuré.
Je reste sur FocusWriter présenté dans le précédent billet, qui reste parfait pour écrire sans distraction.
Pour les notes sur le roman (personnage, trame, plan, lieux), j'ai un unique fichier texte, hiérarchisé par des entêtes de divers niveaux et que j'éditer avec le logiciel Geany, qui permet de naviguer rapidement dans les diverses sections.
Enfin, pour noter la progression du roman, et aussi pour stimuler la motivation en soulignant les avancées ou les régressions, le logiciel NovProg, du même auteur de FocusWriter, est tout à fait adapté !
J'ai indiqué 50 000 mots dans l'objectif, mais le roman final fera probablement plutôt 70 000 ou 80 000 mots environ.
Il ne reste plus qu'à s'y tenir !
