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Mis jour le 07/02/2013 | 10:44 , publi le 07/02/2013 | 09:58
Boire des sodas "light" ne r duirait pas le risque de diab te. Au contraire,
ces boissons seraient associ es un risque accru de le d velopper, selon une
tude rendue publique jeudi 7 f vrier Paris. Men e par des chercheurs fran ais
de l'Inserm aupr s de 66 188 femmes suivies depuis 1993, l' tude a confirm
l'existence d'une relation entre boissons sucr es et diab te de type 2 (le plus
courant).
Les r sultats publi s dans la revue American Journal of Clinical Nutrition ont
notamment montr que les femmes consommant des boissons "light" avaient une
consommation plus grande que celles consommant des boissons sucr es normales
(2,8 verres par semaine contre 1,6 verre par semaine en moyenne,
respectivement). Mais m me quantit consomm e gale, les boissons "light"
taient associ es un risque plus lev de d velopper un diab te : il tait sup
rieur de 15% pour une consommation de 0,5 litre par semaine et de 59% pour 1,5
litre par semaine.
Une insulino-r sistance due aux boissons sucr es
Parmi les m canismes pouvant expliquer le ph nom ne, les chercheurs notent que
les sucres contenus dans les boissons sucr es entra nent un pic d'insuline et
que la r p tition peut engendrer une insulino-r sistance, une anomalie
l'origine du diab te. Quant l'aspartame, l'un des principaux dulcorants
utilis s aujourd'hui dans les boissons "all g es", il pourrait induire une
augmentation de la glyc mie et, de ce fait, une hausse du taux d'insuline
comparable celle engendr e par le sucrose (sucre).