L'emmerdification, je l'ai apprise avec les inrockuptibles que je vénérais quand j'étais jeune. C'est pas qu'un concept s'appliquant au numérique.
Je me souviens de la première fois où un copain avait sorti de son sac un exemplaire des inrocks: il y avait zéro publicité, c'était un autre univers qui s'ouvrait sous mes yeux et ça brillait drôlement ( le papier glacé, sûrement).
La dernière fois que j'ai ouvert ce magasine, je lui ai trouvé une ressemblance avec le catalogue de la fnac.Horrible.
https://mamot.fr/@unpetitindien/113537742844591611
Pas assez de place pour parler de canal+, qu'on étudiera probablement comme un cas d'école de l'emmerdification dans trente ans. De la fascination, je suis passé au dégout à l'évocation de […]
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